Traversant l’immensité de la Russie éternelle, à bord du Baïkal-Amour, Olivier Rolin constate que les traces du Goulag ne s’effacent pas.
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« Voyager en Russie, c’est aussi parcourir l’Histoire, s’enfoncer dans un passé figé. »
Parfois j’aime retrouver le passé figé, cela me rassure et cela me fait du bien…